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21 janvier 2010
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21:50
bon alors j'ai regardé un dessin animée, un drama Laura ou la passion du théâtre glasse no kamen je croit en japonais dans un épisode elle devait interpréter une petite fille aveugle sourde et muette bien interpréter d'ailleurs cette histoire ma touchée j'ai fait des recherches pour savoir d'où leur venait l'idée et j'ai découvert que c'était un film je l'ais donc regardés et l'ai trouver intéressant émouvant en voici donc un résumer complet trouver sur wikipédia
Miracle en Alabama (The Miracle Worker) est un film américain d'Arthur Penn sorti en 1962.en noir et blanc
Les parents d'une fillette aveugle, sourde et muette, font appel à une institutrice spécialisée, elle-même à demi-aveugle. Helen Keller (Patty Duke) n’entend plus, ne voit plus et ne parle pas, il ne lui reste que le toucher principal dominant d’une structure complètement démolie et ceci sans espoir. Annie Sullivan (Anne Bancroft), éducatrice aux méthodes révolutionnaires qui n’a à la base aucune affinité avec Helen, considérée uniquement comme un outil de travail, doit tout en exerçant son métier éprouver des sentiments pour cette gamine enfermée dans un monde clos. Le challenge est double, aider au maximum Helen par son métier et vaincre ses réticences aux sentiments. La lutte est acharnée, au départ Helen refuse de coopérer, les parents ne voyant aucun progrès deviennent hostiles envers Annie qui doit batailler ferme pour conserver la confiance d’un entourage de plus en plus sceptique. Annie maintient son pouvoir dominant, tout l’équilibre relationnel tient sur cette étreinte fortement maintenue par une éducatrice déterminée à ne rien lacher sur une petite handicapée rebelle qui peu à peu abandonne ses instincts de résistance pour enfin se soumettre à une loi celle du savoir par la volonté d'apprendre et de s'ouvrir au monde. Enfin les premiers résultats encourageants interviennent. Helen s’éveille, la transformation est foudroyante. Les combats enfin achevés, une longue étreinte finale unira ces deux esprits enfin apaisés.
Les parents d'une fillette aveugle, sourde et muette, font appel à une institutrice spécialisée, elle-même à demi-aveugle. Helen Keller (Patty Duke) n’entend plus, ne voit plus et ne parle pas, il ne lui reste que le toucher principal dominant d’une structure complètement démolie et ceci sans espoir. Annie Sullivan (Anne Bancroft), éducatrice aux méthodes révolutionnaires qui n’a à la base aucune affinité avec Helen, considérée uniquement comme un outil de travail, doit tout en exerçant son métier éprouver des sentiments pour cette gamine enfermée dans un monde clos. Le challenge est double, aider au maximum Helen par son métier et vaincre ses réticences aux sentiments. La lutte est acharnée, au départ Helen refuse de coopérer, les parents ne voyant aucun progrès deviennent hostiles envers Annie qui doit batailler ferme pour conserver la confiance d’un entourage de plus en plus sceptique. Annie maintient son pouvoir dominant, tout l’équilibre relationnel tient sur cette étreinte fortement maintenue par une éducatrice déterminée à ne rien lacher sur une petite handicapée rebelle qui peu à peu abandonne ses instincts de résistance pour enfin se soumettre à une loi celle du savoir par la volonté d'apprendre et de s'ouvrir au monde. Enfin les premiers résultats encourageants interviennent. Helen s’éveille, la transformation est foudroyante. Les combats enfin achevés, une longue étreinte finale unira ces deux esprits enfin apaisés.
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